Le peintre et l’empereur
11h durée 55 ‘
tout public dès 7 ans
Il était un peintre qui savait si bien représenter les choses, les animaux, les gens, qu’on disait qu’il était capable de donner la vie à ce qu’il dessinait.
Un jour, l’empereur fait capturer cet homme.
Désormais, il doit peindre pour le souverain des scènes afin de le distraire. Il invente pour lui les choses les plus incroyables : un jeune garçon vole dans les airs grâce à une chanson magique, une femme se mesure à un dragon, la lune et le soleil se disputent, etc.
L’empereur est d’autant plus insatiable que les dessins font apparaître des histoires qui se déroulent devant lui. Le peintre est devenu l’esclave de ses caprices…
Écriture et jeu : Gille Crépin
Chargée de production : Marie-Claire Mazeillé
Relations public : Agathe Crépin
Costume : Anne Veyziat
Louis Noël-Bobey
12 h30 durée 1h
« Slam de bitume, chansons de traverse et plumes de poulet de Bresse »
« Un bonheur! un coup il chante, un coup il raconte, un coup il slame, des trouvailles en pagaille »
Annie-Claire Hilga (Centre de la Chanson)
« Sa plume ? « C’est de l’ange vous dis-je »
Frédéric Marty (Rue du Théâtre)
« Un Nougaro tiens ! Mais oui, mais c’est bien sûr… Cette façon de tricoter les rimes, les assonances, de jongler avec les mots pour s’en faire des colliers, cet art de la scansion, de la rythmique »
Claude Fèvre (Nos Enchanteurs)
« Un sacré bonhomme qui vous fout la banane, qui vous scotche, vous séduit…
Faut le voir pour le croire. »
Michel Kemper (Nos Enchanteurs)
interprète: Louis-Noël Bobey; guitare/banjo/harmo
Elles
14h15 durée 1h10
Il y a elles et il y a eux. Eux voudraient leur couper les ailes. Les avoir rien que pour eux. Ah bon ! Pourquoi ? Elles, elles veulent juste être elles, qu’on les aime avec leurs ailes. Pour cela elles sont prêtes à vivre entre elles, sans eux.
L’amour et la liberté sont-ils compatibles ?
Deux voix croisent la parole et le chant. Deux voix mêlent contes populaires revisités avec malice et chansons. Deux voix de femmes !
Un spectacle cruel, absurde et drôle.
Irma Helou : écriture et récit
Brigitte Gouesse : chant et accordéon
Lucia Trotta : mise en scène, aide à l’écriture
Premier amour
16h15 durée 1h15
de Samuel Beckett
Récité par Farhad Khatib
Un homme solitaire est rejeté par ses proches après la mort de son père, qui était son seul protecteur. Il raconte sa rencontre avec une femme sur un banc. Se sentant dérangé par la présence de cette femme, il lui demande de venir moins souvent au banc, et lui-même doit se réfugier dans une étable à vache, à cause du froid. C’est dans cette étable qu’il éprouve un sentiment qui lui était inconnu auparavant. Il aimait cette femme et il devait revenir au banc afin de la rejoindre…
Coup de coeur au Festival International de Théâtre Universitaire de Casablanca
Mention spéciale du jury au Festival International de Théâtre Universitaire de Tanger
Albaricate
ALBARICATE 18h durée 45 ‘
avec Clémence Colin et Samuel Genin
Il écoute avec ses oreilles et parle avec sa guitare.
Elle écoute avec ses yeux et parle avec ses mains.
Ils ne parlent pas la même langue mais racontent ensemble des histoires de swing et de princesses, de chamailleries d’enfants et de petits bouts d’amour.
Albaricate, c’est un garçon orchestre et une fille chansigneuse pour 1h de concert en Langue des Signes Française et chanson acoustique. On sent tour à tour l’influence du verbe conteur de Thomas Fersen, le swing de Sanseverino, ou l’émotion à fleur de peau de Brel pour ce duo clownesque qui danse les mots et signe les notes. Sam et Clémence vous embarquent, avec le sourire, dans leur univers tantôt pétillant tantôt mélancolique, passant du rire aux larmes au rythme des vibrations. « »
Bohème de chic
19h15 durée 1h
Tristan CORBIERE (1845-1875) mena sur les côtes de Bretagne une existence de solitaire. La mer fut sa passion de toujours, sa vie quasi légendaire un tissu de farces et de déguisements. Il publie Les Amours jaunes que Verlaine découvrira dix ans plus tard.
Bernard MEULIEN hisse la voile, le vent du grand large nous emporte avec lui. Un grand paquet de lames venues de l’Atlantique s’abat sur la scène. A la barre de sa baignoire, il commande la manœuvre. C’est un coup de bravoure ! Il se démène, mince et les yeux flambés. Le récit jaillit comme mitraille : musclé, nerveux, fiévreux, vécu. Nous sommes du bateau, fiers et … pas fiers, transportés. Déjà l’on se dit : il faut que je relise ça ! C’est le cadeau du comédien à la poésie.
Barbara : « Il était un piano noir »
21h15 durée 1h10
Conseillé à partir de 12 ans
Suite à son succès dans le Off 2013, La Compagnie revient avec son hommage tout en délicatesse à Barbara, mêlant avec émotion les fragments des mémoires de la longue dame brune et douze de ses chansons.
Midi Libre : «Un spectacle de grande qualité, de l’émotion pure. Un moment intense dans les pas de Barbara, avec ses chansons, ses textes, sa vie. L’accordéon et le piano jouent avec les notes comme les deux actrices jouent avec les mots. Absolue complicité de la chanteuse et de la Lectrice. Chacune d’elle incarne la lente métamorphose de Barbara qui pouvait être drôle! »
V.Mag : « Marie-Hélène Courtin, imprégnée et superbe. Sa voix profonde est bouleversante. Pascale Barandon toute en lumière nous fait découvrir les multiples facettes de cette étoile de nuit, joyeuse et gaie, mélancolique et songeuse. Chapeau bas ! »
Compagnie La Puce Qui Renifle
Idée originale et Adaptation : Pascale Barandon
Mise en musique : Marie-Hélène Courtin
Interprètes : Pascale Barandon et Marie-Hélène Courtin
Directeur Artistique de la Compagnie : Bernard Liger
© Librairie Arthème Fayard,1998
La Compagnie est soutenue par le Conseil Général du Gard